LES GATEAUX FRANCAIS

Didier est devant la boulangerie. C’est un grand gourmand et il veut acheter tous les gâteaux. Il appelle son fils Paul au téléphone.

Paul : Oui ?
Didier : Salut, Paul, c’est ton père !
Paul : Je sais, ton nom s’est affiché sur l’écran avant que tu m’appelles.
Didier : Ah oui, c’est vrai, j’oublie à chaque fois ! Dis-moi, je suis devant la boulangerie, ils ont de très beaux gâteaux, tu en veux un ?
Paul : Papa, c’est gentil, mais je t’ai déjà dit que je ne voulais pas de gâteau. Je suis au régime et j’essaie d’arrêter le sucre !
Didier : Tu es sûr ? Ils sont vraiment très jolis et pas chers !
Paul : Je… bon, allez. Mais après, ne m’achète plus de gâteau ! Je veux bien n’importe quoi, un gâteau au chocolat s’il te plaît. Mais un seul gâteau, un seul !
Didier : OK. Et ta mère, elle veut quelque chose ?
Paul : Maman, papa est à la boulangerie, tu veux quelque chose ? … Elle dit qu’elle ne veut pas de gâteau. Bon, s’il te plaît, n’achète pas de croissants et n’achète pas de pains au chocolat ! Sinon, je ne vais pas pouvoir m’empêcher de les manger. Juste un gâteau et c’est le dernier !
Didier : Très bien, à tout à l’heure mon chéri.

Didier entre dans la boulangerie.

Le boulanger : Bonjour !
Didier : Bonjour, je voudrais une baguette pas trop cuite et une tradition s’il vous plaît. Et je vais vous prendre aussi une religieuse au chocolat et un baba au rhum.
Le boulanger : Très bien. Alors, une baguette, une tradition, une religieuse au chocolat, un baba au rhum…
Didier : Oh, attendez, vos autres gâteaux m’ont l’air aussi délicieux. Je voudrais aussi une religieuse au café, un Paris Brest et une tarte aux pommes. Vous faites toujours l’offre pour les viennoiseries : trois achetés, une offerte ?
Le boulanger : Oui, bien sûr.
Didier : Alors, je voudrais trois croissants et trois pains au chocolat
Le boulanger : Très bien, ça vous fera 16 euros 45 s’il vous plaît !
Didier : C’est vraiment pas cher ! C’est tellement mieux de vivre en Normandie. En région parisienne, ça m’aurait coûté plus du double pour des gâteaux deux fois plus petits !
Le boulanger : Ah ah ! C’est pour ça que la vie est meilleure à la campagne !
Didier : Je suis bien d’accord avec vous ! Alors 16 euros 45… Je vais voir si j’ai l’appoint. J’aimerais me débarrasser de ma petite monnaie. Ah, je vais pouvoir faire l’appoint. Voilà, 16 euros 45, Monsieur.
Le boulanger : C’est parfait merci ! Bonne journée, au revoir Monsieur !
Didier : Au revoir !

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