Aujourd’hui, la technologie évolue très rapidement. On a déjà créé les premiers robots qui peuvent remplacer l’homme en ce qui concerne certaines tâches et les scientifiques ne semblent pas en avoir assez, ils continuent à en développer plus. Cela est bénéfique, l’avancement de la technologie, mais à quel point faut-il s’arrêter ?
Dans un premier temps, on verra les aspects positifs du développement des robots. D’abord, les robots constituent une aide aux tâches ménagères quotidiennes. De nos jours, c’est de plus en plus difficile de trouver de temps libre pour cuisiner, repasser, laver le linge, nettoyer ou arroser les plantes, à cause de notre mode de vie trépidante. Si on avait des robots pour s’aider, on aurait plus de temps libre et pourrait se reposer. Il y a déjà quelques robots de ce type, comme le Roomba. Ensuite, puisqu’un robot fonctionne comme un humain parfait, car il est programmé à ne pas faire d’erreurs, ce serait utile de créer des robots qui travaillent comme des chirurgiens et des infirmiers.
S’il y a des avantages si importants, pourquoi certaines personnes s’inquiètent-elles que les robots évoluent trop ? Peut-être qu’ils regardent trop de films de science-fiction. Mais et s’ils avaient raison ? Premièrement, si on utilise des robots au lieu des humains pour nombreuses postes d’emploi, beaucoup de personnes perdront leur travail. De plus, quand on se fie trop à la technologie, on perd certaines « facultés » humaines comme –entre autres- la capacité à s’orienter, à calculer, à penser, à mémoriser et à apprendre. Plus les robots deviennent intelligents, moins nous le sommes nous-mêmes. Puis, contrairement à ce que l’on croit, les nouvelles technologies polluent énormément. Finalement, le plus gros défaut des robots c’est qu’ils n’ont pas de conscience. C’est la raison pour laquelle ils ne peuvent jamais vraiment remplacer l’homme, à mon avis.
Et vous, qu’est-ce que vous pensez ? Le développement des robots est-il bénéfique ou prennent-ils lentement le relais sans que nous nous en rendions compte, comme dans un film de science-fiction ?
Eva Kournioti A2